Transcriptions écrites
Le 15 novembre 1997
Mes enfants, Relisez ce qui vous est transmis depuis des temps et des temps. Chaque étape est liée à votre propre évolution. A tous, il n’est demandé qu’une seule évolution ; celle d’Amour et de Paix entre les hommes. C’est cette union qui servira à l’anéantissement du Malin sur l’autel de la convoitise, de la jalousie, de l’hérésie, de l’incompréhension, de la misère, de l’oubli et de l’ignorance. Mes enfants, le temps de l’insouciance et du repos est bien terminé. A vous de vous unir et de suivre le chemin de la foi, de la croyance en mon Fils afin que ne cessent les conversions pour le monde nouveau. Les paroles Divines ne sont pas vaines, ni oiseuses, elles sont le reflet de ce que l’homme désire de sa vie. Mes enfants, suis-je là pour vous diriger vers les abîmes de l’ignorance et de la douleur ? Mes enfants, je vous offre mes souffrances pour que demain vous soyez auprès de mon Fils dans l’espace du monde de Dieu le Père et pour que l’humanité se retrouve enfin dans sa nature d’homme, d’amour. Mes enfants, sachez que tout acte de la vie correspond à votre temps de prière et que toute prière est un soutien dans l’éternité pour toute âme égarée ou en attente de confirmation dans l’esprit de Dieu le Père. Ne jugez point de ce temps, mais au contraire, confirmez-vous par vos prières à l’aide pour autrui au travers de mon Fils. Je ne suis qu’une mère qui offre son cœur à ses enfants afin de soulager leurs peines et souffrances. Soyez dignes de la Parole Divine et ne jugez point de la méconnaissance et de l’insouciance des hommes. Selon l’humanité et le lieu, je parle, je pleure, je soulage et j’aide à la guérison par amour pour mon Fils ; mais jamais vous, mes enfants chéris, ne pourrez diriger ce qui est écrit, vécu, visible, sensitif. Mon Fils vous a été offert par son accord afin de soulager l’humanité des ses erreurs. Aujourd’hui vous n’avez toujours pas compris, et mon Fils souffre de votre incompréhension ; Il vous aime et vous le rejetez en chaque instant pour satisfaire l’équilibre matériel de votre jouissance personnelle. Mes enfants, je suis et resterai Mère des hommes en tout lieu et toute occasion. Ne vous offusquez pas de la jalousie de mon effigie matérielle ; là où ma représentation matérielle disparaît, je redouble de présence pour que soit la volonté Divine. Une pierre est une pierre et n’est rien sans l’empreinte du Divin Créateur ; seul le Père Eternel dirige et transmet toute chose avec la demande et l’accord de celui qui le désire. Tout appel est destiné à l’évolution de tous et non à une évolution personnelle et privée. « Venez à mon Père, pour que le Père vienne à vous ». Mon Fils par ces mots vous guide au travers des méandres de la vie et des doutes de l’homme. La simplicité n’est pas de ce monde, mais celui-ci vous accueille pour acquérir l’Amour envers tous, tous vos frères de l’Univers. Il n’est donc pas possible de rejeter un être de couleur, un être de pensée différente, un être de conviction opposée, non, tous les hommes ne doivent qu’évoluer pour l’osmose du peuple Divin dans son royaume. A vous de prêcher par le cœur de mon Eglise à la conversion des peuples, à la soumission de l’amour d’autrui, à l’écoute de la parole Divine et à l’obéissance de la loi de Dieu. Sans cette loi vous ne pourrez aimer, écouter, obéir, soutenir, enseigner ce que le Père Eternel désire pour Ses Fils. Pourquoi écoutez-vous les discordes du Malin alors que le Père vous adresse son Amour et sa Paix dans le soulagement de chaque acte en chaque instant ? Mes enfants, que d’indignes pensées pour des êtres qui vous côtoient ! Etes-vous des Saints pour juger de votre intégrité ? Ne seriez-vous point en train d’affermir votre suffisance aux yeux des hommes ? Sachez accepter et sourire à la destinée de l’homme quand celle-ci est un don pour le rassemblement des hommes. Est-il utile pour vous d’entendre les paroles de l’avenir, vous qui ne savez voir les faux pas de votre existence ? Je vous apporte le soutien d’une mère qui accompagne les premiers pas de son enfant ; pourquoi voulez-vous être adultes sans savoir marcher ? Comme en chaque époque de ce temps, certains de mes fils souffrent, d’autres se réjouissent de la souffrance, tous vous êtes au courant, tous vous agissez pour préserver votre enveloppe personnelle. Que d’erreurs vous commettez en vous détournant de Dieu le Père, car Lui en son temps vous a tout donné, et dans un temps saura vous reprendre ce que vous n’avez pas mérité ! Mes enfants, je vous demande la prière, la prière, la prière dans l’Amour et la Paix pour que demain l’homme soit homme et que la souffrance s’efface du tabernacle de mon Fils. Ne soyez point ignorants de ma présence, mais vivez en chaque instant celle de mon Fils pour que l’homme revienne à son Père Eternel et afin que ce monde se détourne du gouffre de la méconnaissance volontaire et consciente. Mes enfants, venez rencontrer mon Fils sur son autel afin qu’Il vous apporte soulagement et force dans le combat de l’unité Divine. Gardez-vous de toute rancœur et inimitié envers qui que ce soit, car vous n’êtes pas dignes de connaître la raison d’autrui, même si celle-ci est en opposition la loi Divine. Sachez pardonner et aimer ; Dieu seul jugera ceux qui ont jugé et condamné. Mon Fils vous accorde Sa Bénédiction dans l’avenir et confirme en ce message que toutes paroles des messages de la Maison de Marie sont d’origine Divine et que réalisation se fera à l’encontre de l’homme qui ne le désire pas. Le temps est à Dieu le Père et l’homme est dans ce temps. Ne présumez jamais de vos connaissances individuelles. Soyez bénis, mes enfants, par la volonté Divine et sachez pardonner pour que soit ma maison. Nul homme, quel qu’il soit, ne peut changer le dessein de mon Fils. Je suis là pour ramener les hommes vers l’Amour de leur Père Eternel ; soyez en sûrs, les temps touchent à leurs fins par votre attitude d’incroyance. Mais vient le temps où le Père Eternel soulagera tous ceux qui ont cru sans voir et entendu le dernier appel de mon Fils. Je suis Marie Mère des hommes pour que demain soit Amour et Paix entre les hommes. Je désire que mon Fils soit demain votre frère et puisse vous serrer contre Son cœur sans aucune souffrance. Merci de me lire.